De la Shmita à la Grâce
Jacob et le combat avec l'ange
Genèse 32 :26
« Et Jacob répondit : Je ne te laisserai point aller, que tu ne m'aies béni »
Nous avons pu apercevoir les bienfaits de la Shmita lors de la parasha « Vayetse », mais voyons la continuité en « Vayishlach ». Jacob est au moment de retourner vers Esaü et se trouve empli de peur, il en appelle à l’Eternel (Gn 32 :9-12) puis livre un combat qui impactera son être en entier. Jacob refuse de lâcher cet adversaire, réclamant d’être béni par ce dernier, comme David réclamera de ne pas se voir retirer la Ruach Hakodesh (Psaumes 51 :13). La Torah nous laisse entrevoir un fait important, la Shmita est pour le corps (comme le Shabbat) en tant qu’ombre des choses à venir, mais la Grâce est la réalité pour le pécheur qui met sa vie entre les mains du Rédempteur.
Matthieu 5 :44-45
« Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes »
Nous sommes tous imméritants face à la Grâce de Dieu qui « a renfermé tous les hommes dans la désobéissance pour faire miséricorde à tous » (Rom 11 :32). Soyons donc ses imitateurs et faisons grâce à ceux qui nous maltraitent, bénissons les pour qu’ils ne partent pas à vide, et rayonnons de Notre Père afin qu’ils cherchent à Le Connaitre à leur tour. Répandons ce parfum par le témoignage de vies transformées, tel Jacob qui prendra la première place de son camp pour rencontrer Esaü, acceptant dès lors l’identité réelle que Dieu avait entrevue pour lui (Gn 32 :28).
Matthieu 11 :29-30
« Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. »
La Shmita est complémentaire de la Grâce, et à elles deux, nous présentent ainsi la perfection de la Croix qui soigne l’âme et le corps en une seule et unique fois (Esaïe 53 :4-5). Notre âme ainsi libérée des fardeaux et liens du monde peut affronter, avec l’aide/bénédiction de Dieu, tout ce qui sera mis face à elle (1 Corinthiens 10 :13). Apprenons nous aussi en retour à pardonner (Matthieu 6 :12), libérer, délier (Matthieu 16 :19/18 :18) et bénir ceux qui en ont besoin car nous avons reçu ce pouvoir dans le ministère de la réconciliation qui est donné à tous ceux qui ont accepté l’appel (Genèse 33 :3/Matthieu 5 :23-24/2 Corinthiens 5 :18) et reçu l’Esprit d’adoption (Romains 8 :15).
Genèse 32 :29-30
« Jacob l'interrogea, en disant : Fais-moi je te prie, connaître ton nom. Il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Et il le bénit là. Jacob appela ce lieu du nom de Peniel : car, dit-il, j'ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée. »
Jacob désire connaitre plus amplement le Seigneur, la réponse à cette demande pourrait nous dérouter mais le Seigneur use de sagesse afin de révéler selon le besoin de chacun pour le témoignage personnel et le temps opportun à cela (Ma Grâce te suffit : 2 Cor 12 :9/Jean 16 :12). Nous voyons l’acceptation par Jacob en sa louange ainsi que la réalité spirituelle acquise exprimée dans le nom Peniel. Nous avons un avocat dans les cieux et un sur terre qui œuvrent de concert afin de nous guider et nous mener sur le sentier étroit. Nous devrons parfois accepter d’agir en laissant l’Eternel organiser selon Son plan, Sa volonté et humblement accepter Sa décision, telle est la relation avec Celui qui nous a déjà parfaitement sauvés en nous rachetant à la Croix en Yeshua.
Esaïe 63 :9
« Dans toutes leurs détresses ils n'ont pas été sans secours, Et l'ange qui est devant sa face les a sauvés; Il les a lui-même rachetés, dans son amour et sa miséricorde, Et constamment il les a soutenus et portés, aux anciens jours »
Jacob et le combat avec l'ange
Genèse 32 :26
« Et Jacob répondit : Je ne te laisserai point aller, que tu ne m'aies béni »
Nous avons pu apercevoir les bienfaits de la Shmita lors de la parasha « Vayetse », mais voyons la continuité en « Vayishlach ». Jacob est au moment de retourner vers Esaü et se trouve empli de peur, il en appelle à l’Eternel (Gn 32 :9-12) puis livre un combat qui impactera son être en entier. Jacob refuse de lâcher cet adversaire, réclamant d’être béni par ce dernier, comme David réclamera de ne pas se voir retirer la Ruach Hakodesh (Psaumes 51 :13). La Torah nous laisse entrevoir un fait important, la Shmita est pour le corps (comme le Shabbat) en tant qu’ombre des choses à venir, mais la Grâce est la réalité pour le pécheur qui met sa vie entre les mains du Rédempteur.
Matthieu 5 :44-45
« Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes »
Nous sommes tous imméritants face à la Grâce de Dieu qui « a renfermé tous les hommes dans la désobéissance pour faire miséricorde à tous » (Rom 11 :32). Soyons donc ses imitateurs et faisons grâce à ceux qui nous maltraitent, bénissons les pour qu’ils ne partent pas à vide, et rayonnons de Notre Père afin qu’ils cherchent à Le Connaitre à leur tour. Répandons ce parfum par le témoignage de vies transformées, tel Jacob qui prendra la première place de son camp pour rencontrer Esaü, acceptant dès lors l’identité réelle que Dieu avait entrevue pour lui (Gn 32 :28).
Matthieu 11 :29-30
« Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. »
La Shmita est complémentaire de la Grâce, et à elles deux, nous présentent ainsi la perfection de la Croix qui soigne l’âme et le corps en une seule et unique fois (Esaïe 53 :4-5). Notre âme ainsi libérée des fardeaux et liens du monde peut affronter, avec l’aide/bénédiction de Dieu, tout ce qui sera mis face à elle (1 Corinthiens 10 :13). Apprenons nous aussi en retour à pardonner (Matthieu 6 :12), libérer, délier (Matthieu 16 :19/18 :18) et bénir ceux qui en ont besoin car nous avons reçu ce pouvoir dans le ministère de la réconciliation qui est donné à tous ceux qui ont accepté l’appel (Genèse 33 :3/Matthieu 5 :23-24/2 Corinthiens 5 :18) et reçu l’Esprit d’adoption (Romains 8 :15).
Genèse 32 :29-30
« Jacob l'interrogea, en disant : Fais-moi je te prie, connaître ton nom. Il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Et il le bénit là. Jacob appela ce lieu du nom de Peniel : car, dit-il, j'ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée. »
Jacob désire connaitre plus amplement le Seigneur, la réponse à cette demande pourrait nous dérouter mais le Seigneur use de sagesse afin de révéler selon le besoin de chacun pour le témoignage personnel et le temps opportun à cela (Ma Grâce te suffit : 2 Cor 12 :9/Jean 16 :12). Nous voyons l’acceptation par Jacob en sa louange ainsi que la réalité spirituelle acquise exprimée dans le nom Peniel. Nous avons un avocat dans les cieux et un sur terre qui œuvrent de concert afin de nous guider et nous mener sur le sentier étroit. Nous devrons parfois accepter d’agir en laissant l’Eternel organiser selon Son plan, Sa volonté et humblement accepter Sa décision, telle est la relation avec Celui qui nous a déjà parfaitement sauvés en nous rachetant à la Croix en Yeshua.
Esaïe 63 :9
« Dans toutes leurs détresses ils n'ont pas été sans secours, Et l'ange qui est devant sa face les a sauvés; Il les a lui-même rachetés, dans son amour et sa miséricorde, Et constamment il les a soutenus et portés, aux anciens jours »