Matthieu 7:16
« Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? »
Juger ou condamner ? La différence est énorme. Souvent nous entendons : « Tu n'as pas le droit de me juger ! » En effet, si je juge les autres je dois accepter d'être jugé comme j'ai jugé. Mais ici c'est une expression du péché qui parle pas l'homme qui aspire à changer, devenir meilleur, suivre une voie faite de délices et de bonnes choses pour lui.
Deutéronome 32:35
« A moi la vengeance et la rétribution, Au temps où leur pied chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, Et leur destin se précipite. »
A l’Éternel appartient donc la condamnation mais le monde fait aussi cette distinction. Dans les tribunaux, le jury juge et le juge condamne. Il est donc permis de juger un ami, une sœur ou un frère afin que ce dernier ne s'éloigne pas du chemin tracé pour nous afin de nous mener vers la vie éternelle par le sang versé à la croix. C'est un devoir de juger des fruits, cela concerne la personne mais cela ne la condamne pas.
Ézéchiel 18:23
« Est-ce que je désire avant tout la mort du méchant ? — oracle du Seigneur, l'Éternel. N'est-ce pas qu'il se détourne de sa voie et qu'il vive ? »
Comme un parent avertit son enfant par amour pour qu'il se corrige, nous devons juger des actes car ce sont les fruits. Ne laissons pas un arbre se gâter par le péché. Nous pouvons changer, corriger le tir de nos actes si nous nous laissons enseigner car le péché n'aime que lui et ne se nourrit pas de la lumière (Jean 3:18-20). Cette humilité, comme des enfants, nous permet de détruire ce qui est charnel pas à pas afin de persévérer dans la bonne course (1 Jean 1:7). Corriger, ce n'est pas que punir contrairement à ce que nous ressentons pas le péché, c'est aussi être encouragé par ses pairs.
Proverbes 13:24
« Celui qui ménage son bâton a de la haine pour son fils, Mais celui qui l'aime cherche à le corriger. »
« Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? »
Juger ou condamner ? La différence est énorme. Souvent nous entendons : « Tu n'as pas le droit de me juger ! » En effet, si je juge les autres je dois accepter d'être jugé comme j'ai jugé. Mais ici c'est une expression du péché qui parle pas l'homme qui aspire à changer, devenir meilleur, suivre une voie faite de délices et de bonnes choses pour lui.
Deutéronome 32:35
« A moi la vengeance et la rétribution, Au temps où leur pied chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, Et leur destin se précipite. »
A l’Éternel appartient donc la condamnation mais le monde fait aussi cette distinction. Dans les tribunaux, le jury juge et le juge condamne. Il est donc permis de juger un ami, une sœur ou un frère afin que ce dernier ne s'éloigne pas du chemin tracé pour nous afin de nous mener vers la vie éternelle par le sang versé à la croix. C'est un devoir de juger des fruits, cela concerne la personne mais cela ne la condamne pas.
Ézéchiel 18:23
« Est-ce que je désire avant tout la mort du méchant ? — oracle du Seigneur, l'Éternel. N'est-ce pas qu'il se détourne de sa voie et qu'il vive ? »
Comme un parent avertit son enfant par amour pour qu'il se corrige, nous devons juger des actes car ce sont les fruits. Ne laissons pas un arbre se gâter par le péché. Nous pouvons changer, corriger le tir de nos actes si nous nous laissons enseigner car le péché n'aime que lui et ne se nourrit pas de la lumière (Jean 3:18-20). Cette humilité, comme des enfants, nous permet de détruire ce qui est charnel pas à pas afin de persévérer dans la bonne course (1 Jean 1:7). Corriger, ce n'est pas que punir contrairement à ce que nous ressentons pas le péché, c'est aussi être encouragé par ses pairs.
Proverbes 13:24
« Celui qui ménage son bâton a de la haine pour son fils, Mais celui qui l'aime cherche à le corriger. »