A l'autel des démons
a_lautel_des_démons.pdf | |
File Size: | 31 kb |
File Type: |
LA TRANSSUBSTANTIATION : À L'AUTEL DES DÉMONS
Si une personne me demandait de lui donner une raison pour laquelle elle devrait fuir (ou quitter, si
elle y est malheureusement déjà) l'église catholique romaine, je lui répondrais sans hésiter : "La
transsubstantiation !"
J'aurais pu lui parler des cultes des morts, que la Bible qualifie de spiritisme, ou de n'importe lequel
de ces si nombreux ajouts issus du paganisme dont cette religion s'est fortement dotée au cours des
siècles, et pas seulement moyennageux...
Mais voilà, cette religion est suffisamment élastique, dans ses pratiques, pour permettre à ses fidèles
de prendre ce qui les y intéresse, du moment que cela ne remet pas en cause le reste établi.
Ainsi, par exemple, l'un préfèrera adorer l'une des très nombreuses "vierge marie" et autres
"madonne" (il en existe de tous peuples et de toutes couleurs, et pour toutes sortes d'occasions
multiples, métiers divers, etc.), réparties sur tous les continents de la terre, tandis qu'un autre
donnera ses dévôtions à tel "saint" (ou à ses soi-disant reliques..., dont la fausseté de plusieurs a été
démontrée), voire même à tel ange ou archange... (chose que les concernés eux-mêmes refusent
catégoriquement : consultez une Bible, même catholique, vous le constaterez..., notamment dans le
livre de l'apocalypse).
Parmi les catholiques, vous avez de tout, en termes de croyants :
- des croyants (mais pas pratiquants : si, si, chez eux, c'est possible !),
- des croyants-pratiquants, puisqu'il est possible, chez eux, de se dire croyant mais sans pratiquer,
- des traditionnalistes,
- des fondamentalistes,
- des libéraux,
- etc. (et même des catholiques qui sont, en même temps, bouddhistes, new-age, ou que sais-je
encore !).
Dans certains pays (Mexique, ...), le culte catholique romain est même couplé avec les anciennes
pratiques "acceptables" païennes des Amérindiens... En Haïti s'y mêlent même des pratiques tirées
du vaudou (et donc directement du satanisme ! => peut-on trouver pire ???).
Pourtant, je ne lui parlerais que peu de ces choses, car tous les catholiques romains ne les pratiquent
pas nécessairement...
Par contre, une pratique est imposée à tous les catholiques romains : la "très sainte eucharistie", à
laquelle est directement lié le concept de la "transsubstantiation".
Et, comme par hasard, c'est l'un des aspects les plus démoniaques de cette religion qui se prétend
chrétienne (à tel point que, dans le langage populaire de base et journalistique global, chrétien est
quasi-synonyme de catholique romain...).
Mais qu'est-ce donc que cette "transsubstantiation" ?... Et en quoi consiste-t-elle pour que je puisse
ainsi la qualifier de "démoniaque" ?
Tout d'abord, voici quelques définitions, tirées du Cathéchisme officiel catholique romain :
- "PAR LA CONSÉCRATION du pain et du vin s'opère le changement de toute la substance du pain
en la substance du Corps du Christ notre Seigneur et de toute la substance du vin en la substance de
son Sang : ce changement, l'Eglise Catholique l'a justement et exactement appelé
transsubstantiation" (Catéchisme, § 1376),
- "PAR LA CONSÉCRATION s'opère la transsubstantiation du pain et du vin dans le Corps et le
Sang du Christ. Sous les espèces consacrées du pain et du vin, le Christ Lui-même, vivant et
glorieux, est présent de manière vraie, réelle et substantielle, Son Corps et Son Sang, Son âme et SA
DIVINITÉ" (Catéchisme, § 1413),
- "La présence eucharistique du Christ COMMENCE AU MOMENT DE LA CONSÉCRATION et
dure aussi longtemps que les espèces subsistent. Le Christ est tout entier présent dans chacune des
espèces et tout entier dans chacune de leurs parties, de sorte que la fraction du pain ne divise pas le
Christ." (Catéchisme, § 1377),
- "C'est PAR LA CONVERSION du pain et du vin au Corps et au Sang du Christ que le Christ
devient présent en ce sacrement." (Catéchisme, § 1375).
À ce stade, je veux attirer votre attention sur un point qui ne transparaît pas clairement, au premier
abord, ci-dessus : c'est "PAR LA CONSÉCRATION" que s'opère ce changement de substance...
On pourrait croire, ici, que cela signifie par la consécration à Dieu, n'est-ce pas ?... Car le mot
"consécration" signifie "mise à part pour Dieu", comme celui de "sanctification"...
Sauf que le catholicisme possède son propre dictionnaire ou un mot biblique ne signifie pas
nécessairement le sens qu'il a dans la Bible... C'est très subtil !!!
Et ici, c'est le 4è point relevé ci-desus qui nous éclaire en cela : cette "consécration" n'est pas une
"mise en sanctification" mais une "conversion".
En fait, le prêtre "consacre" l'eucharistie, au sens de la convertir.
Et c'est lui qui décide du moment où cela se réalise dans cette "messe" : c'est lui qui ORDONNE à
son dieu, à son christ, de venir, quand lui, prêtre, le décide, et pas avant, et certainement encore
moins après !
Dans les faits, il commande à son dieu, et son dieu lui obéit "au geste et à la voix"... On pourrait
écrire un livre : "Le prêtre et son dieu"...
L'église catholique romaine dit que le prêtre est alors "configuré au Christ (alter Christus)" (source :
fr.wikipedia.org/wiki/Eucharistie).
C'est-à-dire que le prêtre devient alors Créateur, comme Christ : et qui plus est, il devient même
"Créateur de Christ", "créateur de dieu".
ON NAGE D'ORES ET DÉJÀ EN PLEIN PAGANISME, BOURRÉ DE BLASPHÈMES
MULTIPLES, ne le remarquez-vous pas ???
Ensuite, pour compléter utilement cette définition, voici quelques précisions complémentaires sur
l'étendue de la croyance en la "transsubstantiation" :
- "Il ne devrait faire de doute pour personne que TOUS LES FIDÈLES DOIVENT RENDRE À CE
TRÈS SAINT SACREMENT L'ADORATION QUI EST DUE AU DIEU VÉRITABLE, comme
cela a toujours été la coutume dans l'Eglise Catholique. Le fait que le Christ a institué ce sacrement
pour qu'il soit mangé NE DIMINUE EN RIEN CETTE ADORATION." (cf. le document
"Eucharisticum Mysterium"),
-"L'Eucharistie nous préserve des péchés mortels futurs" (Catéchisme, § 1116).
Ci-dessus, la 1ère des 2 indications relève de la plus pure idolâtrie, que Dieu condamne dans la
Bible...
Et la 2nde relève du mensonge théologique.
Je ne veux pas traiter ici des détails, des arguments bibliques appuyés par les références précises,
etc. : vous trouverez aisément, avec une recherche simple mais honnête sur internet, toute la matière
à vous démontrer, très précisémment et de façon solidement argumentée, toute l'hérésie apostate de
cette croyance sur ce point précis... À bon chercheur honnête......., trouvaille en rapport !!!
Faisons simplement un résumé : le catholicisme romain crée et recrée son dieu, à chaque messe, sur
ordre de son prêtre, ordonné pour ce faire, et reconnu par cette religion, à l'instant de la messe
eucharistique, comme étant "créateur de dieu" (c-a-d. lui-même un dieu, l'espace du temps de cette
messe).
Ce dieu (là, je parle de l'eucharistie) ainsi créé par la main de l'homme et sur décision (ordre...) de
ce dernier doit alors recevoir l'adoration des fidèles : le prêtre lui-même, après avoir créé ce dieu,
l'adore en premier, et les fidèles se joignent ensuite à lui dans ce grand mouvement d'adoration.
Et ce dieu (l'eucharistie, je précise), en plus, protège et préserve des pires péchés, même futurs
(mieux que le vrai Jésus lui-même, pour ainsi dire...) !
Vous trouvez que ce n'est pas assez pour fuir cette religion ?
Si oui, qu'est-ce qu'il peut donc bien vous falloir de plus pour prendre conscience qu'en allant dans
cette religion païenne et blasphématoire, ou en décidant d'y rester malgré cela, vous vous opposez
ainsi frontalement au seul vrai Dieu : celui de la Bible ?
La table de l'eucharistie catholique romaine n'est pas la table de Dieu, et l'apôtre Paul a écrit,
justement dans le cadre de la sainte cène (1Co.10:14-22) qui, elle, est la table de Dieu : "Vous ne
pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du
Seigneur, et à la table des démons. Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur? Sommes-nous
plus forts que lui?" (v.21-22).
Quant aux églises, dites évangéliques, qui veulent prôner la pactisation avec ce monstre religieux,
que leur dire de plus, à elles aussi ?
Que chacun prenne ses propres responsabilités... : que chacun choisisse sa table, son autel, dirais-je.
On paraît tous un jour devant le seul vrai Créateur, sauvés ou perdus selon nos choix (et même nos
'non-choix' sont des choix !).
Vous voilà informés.
Que Dieu vous bénisse tous, et vous éclaire pour ceux qui en ont besoin sur ce sujet.
Jean.
Si une personne me demandait de lui donner une raison pour laquelle elle devrait fuir (ou quitter, si
elle y est malheureusement déjà) l'église catholique romaine, je lui répondrais sans hésiter : "La
transsubstantiation !"
J'aurais pu lui parler des cultes des morts, que la Bible qualifie de spiritisme, ou de n'importe lequel
de ces si nombreux ajouts issus du paganisme dont cette religion s'est fortement dotée au cours des
siècles, et pas seulement moyennageux...
Mais voilà, cette religion est suffisamment élastique, dans ses pratiques, pour permettre à ses fidèles
de prendre ce qui les y intéresse, du moment que cela ne remet pas en cause le reste établi.
Ainsi, par exemple, l'un préfèrera adorer l'une des très nombreuses "vierge marie" et autres
"madonne" (il en existe de tous peuples et de toutes couleurs, et pour toutes sortes d'occasions
multiples, métiers divers, etc.), réparties sur tous les continents de la terre, tandis qu'un autre
donnera ses dévôtions à tel "saint" (ou à ses soi-disant reliques..., dont la fausseté de plusieurs a été
démontrée), voire même à tel ange ou archange... (chose que les concernés eux-mêmes refusent
catégoriquement : consultez une Bible, même catholique, vous le constaterez..., notamment dans le
livre de l'apocalypse).
Parmi les catholiques, vous avez de tout, en termes de croyants :
- des croyants (mais pas pratiquants : si, si, chez eux, c'est possible !),
- des croyants-pratiquants, puisqu'il est possible, chez eux, de se dire croyant mais sans pratiquer,
- des traditionnalistes,
- des fondamentalistes,
- des libéraux,
- etc. (et même des catholiques qui sont, en même temps, bouddhistes, new-age, ou que sais-je
encore !).
Dans certains pays (Mexique, ...), le culte catholique romain est même couplé avec les anciennes
pratiques "acceptables" païennes des Amérindiens... En Haïti s'y mêlent même des pratiques tirées
du vaudou (et donc directement du satanisme ! => peut-on trouver pire ???).
Pourtant, je ne lui parlerais que peu de ces choses, car tous les catholiques romains ne les pratiquent
pas nécessairement...
Par contre, une pratique est imposée à tous les catholiques romains : la "très sainte eucharistie", à
laquelle est directement lié le concept de la "transsubstantiation".
Et, comme par hasard, c'est l'un des aspects les plus démoniaques de cette religion qui se prétend
chrétienne (à tel point que, dans le langage populaire de base et journalistique global, chrétien est
quasi-synonyme de catholique romain...).
Mais qu'est-ce donc que cette "transsubstantiation" ?... Et en quoi consiste-t-elle pour que je puisse
ainsi la qualifier de "démoniaque" ?
Tout d'abord, voici quelques définitions, tirées du Cathéchisme officiel catholique romain :
- "PAR LA CONSÉCRATION du pain et du vin s'opère le changement de toute la substance du pain
en la substance du Corps du Christ notre Seigneur et de toute la substance du vin en la substance de
son Sang : ce changement, l'Eglise Catholique l'a justement et exactement appelé
transsubstantiation" (Catéchisme, § 1376),
- "PAR LA CONSÉCRATION s'opère la transsubstantiation du pain et du vin dans le Corps et le
Sang du Christ. Sous les espèces consacrées du pain et du vin, le Christ Lui-même, vivant et
glorieux, est présent de manière vraie, réelle et substantielle, Son Corps et Son Sang, Son âme et SA
DIVINITÉ" (Catéchisme, § 1413),
- "La présence eucharistique du Christ COMMENCE AU MOMENT DE LA CONSÉCRATION et
dure aussi longtemps que les espèces subsistent. Le Christ est tout entier présent dans chacune des
espèces et tout entier dans chacune de leurs parties, de sorte que la fraction du pain ne divise pas le
Christ." (Catéchisme, § 1377),
- "C'est PAR LA CONVERSION du pain et du vin au Corps et au Sang du Christ que le Christ
devient présent en ce sacrement." (Catéchisme, § 1375).
À ce stade, je veux attirer votre attention sur un point qui ne transparaît pas clairement, au premier
abord, ci-dessus : c'est "PAR LA CONSÉCRATION" que s'opère ce changement de substance...
On pourrait croire, ici, que cela signifie par la consécration à Dieu, n'est-ce pas ?... Car le mot
"consécration" signifie "mise à part pour Dieu", comme celui de "sanctification"...
Sauf que le catholicisme possède son propre dictionnaire ou un mot biblique ne signifie pas
nécessairement le sens qu'il a dans la Bible... C'est très subtil !!!
Et ici, c'est le 4è point relevé ci-desus qui nous éclaire en cela : cette "consécration" n'est pas une
"mise en sanctification" mais une "conversion".
En fait, le prêtre "consacre" l'eucharistie, au sens de la convertir.
Et c'est lui qui décide du moment où cela se réalise dans cette "messe" : c'est lui qui ORDONNE à
son dieu, à son christ, de venir, quand lui, prêtre, le décide, et pas avant, et certainement encore
moins après !
Dans les faits, il commande à son dieu, et son dieu lui obéit "au geste et à la voix"... On pourrait
écrire un livre : "Le prêtre et son dieu"...
L'église catholique romaine dit que le prêtre est alors "configuré au Christ (alter Christus)" (source :
fr.wikipedia.org/wiki/Eucharistie).
C'est-à-dire que le prêtre devient alors Créateur, comme Christ : et qui plus est, il devient même
"Créateur de Christ", "créateur de dieu".
ON NAGE D'ORES ET DÉJÀ EN PLEIN PAGANISME, BOURRÉ DE BLASPHÈMES
MULTIPLES, ne le remarquez-vous pas ???
Ensuite, pour compléter utilement cette définition, voici quelques précisions complémentaires sur
l'étendue de la croyance en la "transsubstantiation" :
- "Il ne devrait faire de doute pour personne que TOUS LES FIDÈLES DOIVENT RENDRE À CE
TRÈS SAINT SACREMENT L'ADORATION QUI EST DUE AU DIEU VÉRITABLE, comme
cela a toujours été la coutume dans l'Eglise Catholique. Le fait que le Christ a institué ce sacrement
pour qu'il soit mangé NE DIMINUE EN RIEN CETTE ADORATION." (cf. le document
"Eucharisticum Mysterium"),
-"L'Eucharistie nous préserve des péchés mortels futurs" (Catéchisme, § 1116).
Ci-dessus, la 1ère des 2 indications relève de la plus pure idolâtrie, que Dieu condamne dans la
Bible...
Et la 2nde relève du mensonge théologique.
Je ne veux pas traiter ici des détails, des arguments bibliques appuyés par les références précises,
etc. : vous trouverez aisément, avec une recherche simple mais honnête sur internet, toute la matière
à vous démontrer, très précisémment et de façon solidement argumentée, toute l'hérésie apostate de
cette croyance sur ce point précis... À bon chercheur honnête......., trouvaille en rapport !!!
Faisons simplement un résumé : le catholicisme romain crée et recrée son dieu, à chaque messe, sur
ordre de son prêtre, ordonné pour ce faire, et reconnu par cette religion, à l'instant de la messe
eucharistique, comme étant "créateur de dieu" (c-a-d. lui-même un dieu, l'espace du temps de cette
messe).
Ce dieu (là, je parle de l'eucharistie) ainsi créé par la main de l'homme et sur décision (ordre...) de
ce dernier doit alors recevoir l'adoration des fidèles : le prêtre lui-même, après avoir créé ce dieu,
l'adore en premier, et les fidèles se joignent ensuite à lui dans ce grand mouvement d'adoration.
Et ce dieu (l'eucharistie, je précise), en plus, protège et préserve des pires péchés, même futurs
(mieux que le vrai Jésus lui-même, pour ainsi dire...) !
Vous trouvez que ce n'est pas assez pour fuir cette religion ?
Si oui, qu'est-ce qu'il peut donc bien vous falloir de plus pour prendre conscience qu'en allant dans
cette religion païenne et blasphématoire, ou en décidant d'y rester malgré cela, vous vous opposez
ainsi frontalement au seul vrai Dieu : celui de la Bible ?
La table de l'eucharistie catholique romaine n'est pas la table de Dieu, et l'apôtre Paul a écrit,
justement dans le cadre de la sainte cène (1Co.10:14-22) qui, elle, est la table de Dieu : "Vous ne
pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du
Seigneur, et à la table des démons. Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur? Sommes-nous
plus forts que lui?" (v.21-22).
Quant aux églises, dites évangéliques, qui veulent prôner la pactisation avec ce monstre religieux,
que leur dire de plus, à elles aussi ?
Que chacun prenne ses propres responsabilités... : que chacun choisisse sa table, son autel, dirais-je.
On paraît tous un jour devant le seul vrai Créateur, sauvés ou perdus selon nos choix (et même nos
'non-choix' sont des choix !).
Vous voilà informés.
Que Dieu vous bénisse tous, et vous éclaire pour ceux qui en ont besoin sur ce sujet.
Jean.